Films britanniques des années 50
The Glass Cage (1955)
Un film noir de la Hammer au pitch plutôt absurde et qui vaut surtout par son cadre atypique et l’humour qui en découle
Face the Music (1954)
Un whodunnit qui adopte les codes du film noir sur fond de musique jazz. Une rareté signée Terence FIsher pour la Hammer !
Look Back in Anger / Les corps sauvages (1959)
Quand la jeunesse hurle son refus de la société mais aussi de l’existence. Un grand cri de douleur nihiliste.
Libel / La nuit est mon ennemie (1959)
Un thriller juridique non dénué de suspense mais plombé par un manque de réalisme et des acteurs qui sur-jouent.
A Kid for Two Farthings / L’enfant et la licorne (1955)
Un merveilleux conte familial débordant de couleurs avec des personnages attachants. Un grand Carol Reed (n’en déplaise aux grincheux).
Lady Godiva Rides Again (1951)
Pas entièrement convaincante, la comédie de Frank Launder a le mérite de témoigner de la place de la femme dans la société anglaise du début des années 50 et c’est pas folichon !
A Night to Remember / Atlantique, latitude 41° (1958)
Film catastrophe très efficace et qui ne force pas le trait en s’appuyant sur des effets mélodramatiques trop faciles. Une très belle réussite du genre.
Genevieve (1953)
Une charmante comédie old school avec quatre acteurs formidables… et Genevieve.
The Stranglers of Bombay (1959)
Un film d’aventures exotiques avec une bonne dose de sadisme. Une autre des spécialités de la Hammer. Ce n’est pas l’un des meilleurs films du genre, mais pas le plus honteux.
Ice Cold in Alex / Le désert de la peur (1958)
Rien ne vaut une bonne bière après une traversée du désert ! Un film d’aventures très efficace avec un quatuor mythique (John Mills, Sylvia Syms, Anthony Quayle et Harry Andrews).
Angels One Five (1952)
Un film de guerre en hommage à la Royal Air Force et qui se déroule quasiment intégralement sur le plancher des vaches. Original mais est-ce suffisant ?
The Man Who Could Cheat Death (1959)
The Man Who Could Cheat Death (1959) de Terence Fisher. Même la Hammer de la grande époque ne pouvait viser juste à tous les coups. Pour preuve ce film pas honteux mais bâclé.
Sea Wife / L’épouse de la mer (1957)
« Sea Wife » (1957). Un pitch intrigant et un casting cinq étoiles gâchés par de nombreuses incohérences et maladresses scénaristiques.
The Key / La clé (1958)
« The Key » est l’un des films oubliés de la dernière partie de la carrière de Carol Reed. Pourtant ce long métrage au pitch intrigant et au casting impressionnant mériterait qu’on s’intéresse à nouveau à lui.
Father Brown / Détective du bon Dieu (1954)
Une excellente comédie familiale anarchiste avec un Alec Guinness en grande forme dans le rôle du fameux prêtre et détective amateur.
Dracula / Le cauchemar de Dracula (1958)
Le classique de la Hammer avec un Christopher Lee toujours aussi impressionnant dans son rôle fétiche.
Last Holiday / Vacances sur ordonnance (1950)
Une comédie dramatique touchante avec une pointe d’humour noir sur le sens de la vie et l’hypocrisie régissant les relations humaines
An Inspector Calls (1954)
Un drame engagé contre l’hypocrisie de la bourgeoisie. Trop caricatural pour être vraiment efficace.
Devil Girl from Mars (1954)
Un pitch prometteur et un joli personnage principal de méchante dominatrice extra-terrestre. Cela suffit-il ?
Footsteps in the Fog / Des pas dans le brouillard (1955)
Une très bonne comédie noire avec le couple mythique Stewart Granger et Jean Simmons.