Films dramatiques britanniques
Cassandra’s Dream / Le rêve de Cassandre (2007)
Dernier film de la trilogie britannique de Woody Allen, « Le rêve de Cassandre » est une déception en dépit d’un duo d’acteurs sympathique.
My left foot : The Story of Christy Brown (1989)
Biographie un brin trop classique mais transcendée par la performance de Daniel Day-Lewis. Un film sensible qui interroge notre regard sur les handicapés.
Witchfinder General / Le grand inquisiteur (1968)
Drame historique qui vire vers l’horreur, un film réussi devenu culte. Superbe prestation de Vincent Price.
The Small Back Room / La mort apprivoisée (1949)
Film injustement méconnu de Powell, voici un petit chef d’oeuvre intimiste sur un homme en proie à ses démons
The Shooting Party / La partie de chasse (1985)
Allégorie subtile sur la fin d’un monde à l’orée de la première guerre mondiale. L’un des derniers rôles de James Mason.
The Raging Moon (1971)
Une histoire d’amour entre deux handicapés à la fois élégante et gentiment provocante avec un très bon Malcolm McDowell.
Babylon (1980)
Un film dur sur le racisme quotidien et la pauvreté dans le Londres de la fin des 70s. Egalement un portrait saisissant sur la communauté jamaïcaine sur fond de reggae.
Ill Manors / La cité de la violence (2012)
Un film sur la violence et la misère urbaines à Londres sur fond de rap. Le réalisateur évite heureusement la plupart des écueils.
My Week With Marilyn (2011)
Une retranscription assez anecdotique du tournage de « The Prince and The Showgirl » et de la relation entre deux monstres sacrés, Laurence Olivier et Marilyn Monroe.
This Sporting Life / Le prix d’un homme (1963)
Drame social magistral et poignant signé Lindsay Anderson avec un Richard Harris fabuleux en géant arrogant.
I Was Happy Here (1966)
Dans les années 60, une jeune irlandaise se brûle les ailes à Londres et rêve de retrouver son premier amour sur la côte irlandaise. Poignant.
Madonna of the Seven Moons / La madone aux deux visages (1945)
Un mélodrame italien 100% british. Audacieux mais bancal. Avec Stewart Granger en brigand tout droit sorti des quartiers mal famés de Florence ! Mythique.
Life for Ruth / Accusé, levez-vous (1962)
Un drame poignant sur la mort d’une fille de 8 ans à cause du refus du père d’accepter une transfusion sanguine. Life for Ruth refuse le jugement facile, et c’est tout à son honneur.
Woman in a Dressing Gown (1957)
Un merveilleux mélodrame réaliste, signé J. Lee-Thomson qui annonce les films sociaux des années 60
Richard III (1955)
Comédie noire sur l’ivresse du pouvoir. Un film où Laurence Olivier se lâche complètement.
Paperhouse (1988)
Mi-mélodrame sur l’absence et la maladie, mi-film fantastique, « Paperhouse » et un film audacieux et fragile mais qui miraculeusement garde son équilibre.
It always rains on Sunday / Il pleut toujours le dimanche (1947)
Film noir très sombre avec de très beaux personnages féminins. Un film fort et rare atypique des studios Ealing.
Darling / Darling Chérie (1965)
« Darling » est le portrait d’une femme en état de dépendance. En dépit de la libéralisation sexuelle et sociale apparente des années 60, pour Schlesinger finalement rien n’a changé.
Bad Timing / Enquête sur une passion (1980)
« Bad Timing » est un film complexe et très dur sur la jalousie et l’obsession sexuelle. Le film maudit de Nicolas Roeg sur une obsession vénéneuse, est à découvrir.
The Living and the Dead (2006)
Un film maniéré et hystérique sur la douleur engendrée dans une famille par une longue maladie et un inévitable décès.