Films britanniques (tous genres et toutes époques confondus)
Tous les films chroniqués sur ce site (classés par ordre de publication de la chronique – de la plus récente à la plus ancienne)
Madhouse (1974)
Longtemps délaissé par le public et la critique, « Madhouse » mérite bien mieux que les a priori et jugements hâtifs dont il fut victime, résultat d’une production chaotique
Dark Highlands (2018)
Un film d’horreur très amateur, quasiment sans dialogue, qui mise tout sur son ambiance. Oui, les Highlands forment un décor impressionnant, mais est-ce que ça suffit à faire un film ? Non.
The Teckman Mystery (1954)
L’une des premières, sinon la première, adaptation cinéma d’une série télévisée britannique, est un thriller typique de la guerre froide qui ne brille pas par son originalité
All Coppers Are… (1972)
Entre drame social, romance cruelle et film criminel, « All Coppers Are… » semble également hésiter entre une approche old school et moderne. Un résultat inégal mais intéressant
Whoever Slew Auntie Roo? / Mais qui a tué tante Roo ? (1972)
Un thriller horrifique qui s’inspire du conte des frères Grimm « Hansel et Gretel » avec Shelley Winters en mère dévastée aux obsessions pas très saines
The African Queen / La Reine africaine (1951)
Un film à la hauteur de sa légende, transcendé par ses décors naturels et l’alchimie entre ses deux stars, Humphrey Bogart et Katharine Hepburn
The Hallow / Le sanctuaire (2015)
Un folk horror movie tourné dans la campagne irlandaise doté d’une réalisation correcte mais d’un scénario bien trop basique pour être convainquant.
The Fiend (1972)
Un thriller horrifique très seventies avec ses meurtres de jeunes femmes dénudées mais aussi une dénonciation des sectes chrétiennes et un casting hors-pair
Malachi’s Cove / La crique de Malachi (1973)
Un joli drame porté par le duo touchant entre Donald Pleasence et Veronica Quilliga, seuls face à l’adversité de la nature et des hommes
Horrible Histories: The Movie (2019)
Adapté d’une série à succès qui mélange comédie et ambition éducative, le film est un divertissement familial de bonne facture mais les amateurs de comédies à la Monty Python passeront leur chemin
Just Jim (2015)
Comment devenir cool alors qu’on est un adolescent déprimé et souffre douleur. A la fois comédie dramatique à l’humour noir et thriller décalé, ce premier film de l’acteur gallois Craig Roberts est une bonne surprise
The Awakening / La maison des ombres (2011)
Une ambiance très réussie, d’excellents acteurs mais un scénario qui tire un peu trop sur la crédulité du spectateur
Caveat (2020)
Un chouette film d’horreur indépendant où la forme l’emporte sur le fond, mais qui parvient à faire mouche grâce à son ambiance bien travaillée et un lapin mécanique d’anthologie.
Prevenge (2016)
Une jeune femme enceinte est poussée au meurtre par son bébé, désireux de se venger de la mort de son père. Un thriller horrifique qui baigne dans l’humour noir
Vampire Virus (2020)
Un film de vampires à la sauce eighties où le vampirisme est une parabole du sida. Mais ça ne suffit pas à rendre ce film fauché du multirécidiviste Charlie Steeds passionnant
The Keep / La forteresse noire (1983)
Massacré au montage, le deuxième film de Michael Mann reste un conte métaphysique sur le mal fascinant qu’on rêve un jour de voir en intégralité et restauré comme il se doit
The Isle (2018)
Le mythe grec des sirènes délocalisé sur une île écossaise isolée au XIXe siècle, il fallait y penser, ils l’ont fait !
When the Lights Went Out (2012)
Basé sur des faits réels et conçu par un membre de la famille victime du poltergeist « le plus violent d’Angleterre ». Entre film d’horreur et drame social à l’anglaise, un mélange étonnant mais qui fonctionne assez bien.
Under the Skin (1997)
Avec son unique film à ce jour, Carine Adler signe un portrait poignant de deux soeurs qui doivent faire face au décès soudain de leur mère
Cleft Lip / Bec de lièvre (2018)
Un drame indépendant qui tente de moderniser l’histoire d’Oedipe Roi de Sophocle. Ambitieux mais pas toujours très convainquant



















