Films britanniques (tous genres et toutes époques confondus)
Tous les films chroniqués sur ce site (classés par ordre de publication de la chronique – de la plus récente à la plus ancienne)
She Will (2021)
Un drame horrifique fort avec une ambiance travaillée sur une thématique post MeToo mais qui manque parfois de subtilité aussi bien sur la forme que sur le fond
The Outrun (2024)
Un portrait, entre Londres et l’Ecosse, d’une jeune femme qui se noie dans l’alcoolisme. Belle prestation de Saoirse Ronan dans un film pas toujours convaincant
The Passionate Stranger / L’étranger amoureux (1957)
Une romcom satirique et ingénieuse entre fantasme hollywoodien et réalité britannique. Une belle réussite signée Muriel Box et co-scénarisée par son mari Sydney
Rattle of a Simple Man (1964)
Avant la libéralisation des moeurs, ce film est l’un des très rares à parler si ouvertement de sexe à travers l’histoire tragi-comique d’un vieux garçon qui va enfin (ou pas) se déniaiser dans les bras d’une prostituée
Against the wind / Les guerriers dans l’ombre (1948)
Une production Ealing sur des personnages de l’ombre, les espions et saboteurs envoyés derrière les lignes ennemies avec des chances de survie très faibles. Un drame cruel où l’héroïsme semble vain
The Circle (2017)
Un petit film de folk horror qui malheureusement s’échoue sur un écueil scénaristique difficilement excusable
Starve Acre (2023)
Un drame horrifique qui s’inscrit dans le sous-genre du folk horror et mise tout sur une ambiance pesante très travaillée. Est-ce suffisant ?
Sunshine (2007)
Un thriller SF/horreur signé Danny Boyle. Boudé à sa sortie, « Sunshine »est pourtant une belle réussite même s’il aurait gagné à s’accorder plus de respirations
The Comic (1985)
Premier film d’un fameux réalisateur anglais de séries Z, « The Comic » ne démérite pas de sa réputation d’ofni fauché, bizarre et de mauvais goût. Hypnotisant !
The Body Stealers (1969)
Un thriller SF qui a plus de 10 ans de retard et qui fleure bon les années 50. Une production Tigon largement passée inaperçue
Brotherhood (2016)
Le dernier volet de la « hood trilogy » de Noel Clarke n’a malheureusement plus grand chose à voir avec ses deux ainés. Un revenge movie standard et mal fichu
Adulthood (2008)
Noel Clarke revient sur les personnages de « Kidulthood » six ans après les événements du premier film. Une suite moins dans l’urgence, plus classique mais pas inintéressante pour autant
Kidulthood / Génération Gangsta (2006)
Un film réaliste et dérangeant sur la violence banalisée dans laquelle vivent les jeunes lycéens des quartiers défavorisés de Londres
Hannie Caulder / Un colt pour trois salopards (1971)
Un chouette western atypique avec un rôle féminin fort, une rareté ! Le film mêle audacieusement les genres, ce qui pourra plaire (ou pas)
Light (2024)
Un thriller SF ambitieux et malin malgré un budget « extrêmement bas » et quelques choix maladroits. Sur une planète couverte d’un brouillard épais, personne ne vous verra crier !
The Spy Who Came in from the Cold / Un espion venu du froid (1965)
Un des grands classiques du film d’espionnage, un anti James Bond poussé à l’extrême, où les idéologies, si vides soient-elles, s’entre-choquent et broient impitoyablement l’humain
Back to Black (2024)
Un biopic trop classique et redondant autour d’une figure mythique de la musique du début des années 2000
The Headless Ghost (1959)
Quand l’horreur gothique rencontre le Club des Cinq, une production déjà désuète à sa sortie
So Evil My Love / Une âme perdue (1948)
Un très bel exemple de « Gaslight Noir » porté par une réalisation assurée de Lewis Allen et l’interprétation magistrale d’Ann Todd à la tête d’un excellent casting
Ten Little Indians (1965)
Basée sur le classique d'Agatha Christie, une adaptation fidèle malgré le changement de décors et qui bénéficie d'un joli casting. Ten Little Indians (1965) (Les dix petits indiens) Réalisé par George Pollock Ecrit par Peter Yeldham et Harry Alan Towers d'après le...