Films britanniques des années 50
Doctor at Large / Toubib en liberté (1957)
Troisième épisode de la série Doctor où Simon Sparrow (Dirk Bogarde) a un peu de mal à avancer dans sa carrière (comme Bogarde lui-même !)
The Spanish Gardener / Le jardinier espagnol (1956)
Un diplomate (interprété par le génial Michael Hordern), blessé sur plan personnel et professionnel, est jaloux de l’amitié de son fils avec un jardinier.
So Long at the Fair / Si Paris l’avait su (1950)
Un bon thriller avec Jean Simmons et Dirk Bogarde qui plonge le spectateur dans un Paris hostile, en pleines festivités de l’exposition universelle.
Penny Princess / Fromage à gogo (1952)
Un drôle de mélange entre la comédie romantique à l’américaine et la comédie type Ealing aussi charmant que désuet
A Tale of Two Cities / Sous la terreur (1958)
Une adaptation plutôt réussie d’un roman de Dickens où Dirk Bogarde excelle en anti-héros qui trouve la rédemption en se sacrifiant par amour
Doctor at Sea / Rendez-vous à Rio (1955)
Une petite comédie amusante, suite d’un des plus grands succès du cinéma britannique, avec en bonus Brigitte Bardot
Campbell’s kingdom / La vallée de l’or noir (1957)
Un film d’aventures à l’intrigue et aux personnages bien trop simplistes et caricaturaux. Un gâchis avec un casting en or dont Dirk Bogarde et Stanley Baker.
Hunted / Rapt (1952)
Un film noir de bonne facture autour d’un duo de fugitifs improbable : un marin qui a tué par amour et un orphelin qui pense avoir incendié la maison de ses parents adoptifs !
Cast a Dark Shadow (1955)
Dirk Bogarde joue les tueurs de vieilles dames dans ce petit thriller divertissant réalisé par Lewis Gilbert. L’avant-dernière apparition de Margaret Lockwood sur grand écran.
The Man Between / L’homme de Berlin (1953)
Le moins connu des films noirs de Carol Reed est un chef d’oeuvre malgré ses imperfections et grâce au couple formé par James Mason et Claire Bloom.
Expresso Bongo (1959)
Une comédie musicale enlevée et une amusante satire du show biz à la sauce britannique. Une excellente surprise avec Cliff Richard dans l’un de ses premiers rôles et un Laurence Harvey brillant !
The Wind Cannot Read / Le vent ne sait pas lire (1958)
Une romance en temps de guerre entre un soldat britannique et une japonaise. Le résultat manque de souffle et de complexité
Beyond This Place (1959)
Un petit thriller pas toujours convaincant mais sauvé grâce à une réalisation solide de Jack Cardiff et un montage au cordeau
Simba (1955)
Un témoignage fascinant d’une tentative de traitement objectif d’un conflit colonial alors en cours (la révolte Mau Mau au Kenya)
Night of the Demon / Rendez-vous avec la peur (1957)
Un film d’horreur efficace qui joue sur la lutte entre le rationalisme et le monde occulte. Le plaisir est un peu gâché par un monstre ridicule imposé par le producteur.
Carve her Name with Pride (1958)
Un film de guerre atypique d’après des faits réels où une femme tient le rôle du héros. Déséquilibré mais convaincant et émouvant
No Trees in the Street (1959)
Les bas fonds de l’East End londonien servent de décor à ce film mélangeant réalisme social et film noir mais souffrant d’un ton un peu moralisateur
Horrors of the Black Museum / Crimes au musée des horreurs (1959)
Un petit film d’horreur amusant qui vaut surtout par quelques scènes osées pour l’époque
The Cruel Sea / La mer cruelle (1953)
Un classique des films de guerre maritimes produit par Ealing. Jack Hawkins est superbe d’humanité en commandant de corvette faillible.
Yesterday’s Enemy (1959)
Un film dur et efficace sur les dilemmes moraux en temps de guerre. L’une des plus belles réussites de la Hammer





















