Films britanniques (tous genres et toutes époques confondus)
Tous les films chroniqués sur ce site (classés par ordre de publication de la chronique – de la plus récente à la plus ancienne)
Crimes at the Dark House / Meurtres à la maison noire (1940)
Un mélodrame cruel où Tod Slaughter s’en donne à coeur joie en imposteur prêt à étrangler tous ceux qui se mettent sur son chemin
The Odd Job (1978)
Une comédie moyennement drôle, ça arrive, mais quand on a Graham Chapman et David Jason au casting, c’est criminel…
North Star / My Mother’s Wedding (2023)
Une belle scène ne suffit pas à sauver le premier film en tant que réalisatrice de Kristin Scott Thomas qui s’enfonce dans la caricature
Urchin (2025)
Un drame social sauvé de quelques lourdeurs et d’une fin ratée par un excellent Frank Dillane dans le rôle principal
Slumber / Parasomnie (2017)
Un film d’horreur sur un démon qui habite les cauchemars. Pas follement original. Ni dans le concept, ni dans l’exécution.
Dreamers (2025)
Est-il possible de tomber amoureux dans un centre de détention, en attente d’une possible expulsion ? Entre romance et drame social, « Dreamers » a du mal à trouver sa voie
California Schemin (2025)
Quand deux rappeurs écossais se font passer pour des Californiens afin de percer. Un contre-pied à « Kneecap », pas aussi fou mais porté par deux acteurs principaux convaincants
Rye Lane (2023)
Une comédie romantique branchée qui ne bouleverse pas les règles du genre mais nous fait passer un chouette moment – si vous n’êtes pas allergiques à ses choix stylistiques
The Damned (2024)
Un film d’horreur dans un petit camp de pêcheurs de l’Islande du XIXe prisonnier entre de véritables murs de glace !
Brides (2025)
Un road movie poignant autour de l’amitié de deux adolescentes qui vont rejoindre ensemble l’Etat Islamique en 2012
Wild Country (2005)
Un film de loups-garous 100% écossais aux effets visuels réussis mais à la réalisation un peu pataude
My Father’s Shadow (2025)
Un beau film sur la transmission et la relation père-fils où la confusion familiale fait écho aux désordres sociaux et politiques d’une journée de 1993 à Lagos
The Thing with Feathers (2025)
Quand le deuil tourne au désespoir. Un film sombre, non dépourvu de lourdeur, mais sauvé par la prestation de Benedict Cumberbatch
Darklands (1996)
Quand le folk horror s’immisce dans une aciérie galloise ! Un scénario confus rattrapé de justesse par une ambiance glauque à souhait.
Lollipop (2024)
Un portrait viscéral d’une jeune mère tout juste sortie de prison. Misérabiliste ? Non. Daisy-May Hudson fait un pari gagnant sur la solidarité pour montrer que les histoires les plus dures peuvent se finir bien
Dragonfly (2025)
Entre réalisme social et thriller, une très belle réussite portée par une exécution qui frôle la perfection
Street of Shadows / Les femmes connaissent la musique (1953)
Un chouette film noir avec pour décor la vie nocturne du Soho des années 50 et qui donne à Victor Maddern l’un de ses rôles les plus mémorables
Marionette (2020)
Un thriller psychologique ambitieux qui aurait gagné à garder un peu plus de mystère. Le casting réussi et les paysages écossais nous aident à passer un bon moment
Escape Route / La route de la mort (1952)
Un petit thriller typique de la guerre froide mais qui nous donne l’occasion de voir le New Yorkais George Raft marcher parmi les ruines encore fumantes du Londres d’après-guerre
Cleaner (2025)
Un thriller d’action à l’écriture trop paresseuse (euphémisme). Dommage car Martin Campbell et Daisy Ridley se démènent dans ce clone de « Die Hard »



















