Empire of Light (2022)
Instantané d’une époque révolue ou peut-être pas tant que ça. Si la pellicule et les palais du 7e art ont quasiment disparu, les inégalités de la « vraie » vie restent
Instantané d’une époque révolue ou peut-être pas tant que ça. Si la pellicule et les palais du 7e art ont quasiment disparu, les inégalités de la « vraie » vie restent
Andy Serkis est brillant dans la peau du rocker cockney mythique Ian Dury.
Film claustrophobe à la limite de l’obsession esthétisante. Une expérience visuelle et auditive forte mais quid de la narration ?