
A Severed Head (1971)
Une comédie de moeurs grinçante sur les perversions et l’hypocrisie de la haute bourgeoisie. Un beau casting mais quelques longueurs
Une comédie de moeurs grinçante sur les perversions et l’hypocrisie de la haute bourgeoisie. Un beau casting mais quelques longueurs
Un Robin des Bois vieillissant retourne à Sherwood. Une excellente romance douce-amère et une comédie dramatique existentielle à ne pas manquer
Premier grand film de Terry Gilliam en solo qui démontre ici que sa créativité visuelle peut se marier avec une intrigue, si loufoque soit-elle.
Scénario neuneu + personnages pas très charismatiques = comédie romantique ratée et premier échec de Danny Boyle.
“Chariots of Fire” (1981). Un classique visuellement très beau mais dont le discours sur la glorification du sport et du dépassement de soi a mal vieilli