Comédies britanniques au cinéma
The Boy Who Turned Yellow (1972)
Un film pour enfants très fantaisiste créé par l’un des duos créatifs les plus célèbres du 7e art : Michael Powell et Emeric Pressburger !
Kingsman: The Secret Service (2014)
Une parodie réussie des James Bond avec une bonne dose de My Fair Lady. Tarantino et les Monty Python ne désapprouveraient pas
Help! / Au secours ! (1965)
Un brillant exercice de style dans le domaine de la comédie absurde signé Richard Lester et avec les inénarrables Beatles. Ultra coloré et loufoque.
Royal Flash / Le froussard héroïque (1975)
Une comédie d’aventures signée Richard Lester qui aligne un casting impressionnant, des décors grandioses et la superbe photo
The Mouse on the Moon / La souris sur la lune (1963)
Comédie charmante et désuète autour de la conquête de l’espace signée par Richard Lester.Comédie charmante et désuète atour de la conquête de l’espace signée par Richard Lester.
The Ritz (1976)
Une comédie très seventies sur les homosexuels. Très datée mais quelques bons moments et des acteurs qui s’amusent.
Father Brown / Détective du bon Dieu (1954)
Une excellente comédie familiale anarchiste avec un Alec Guinness en grande forme dans le rôle du fameux prêtre et détective amateur.
Love actually (2003)
Attention déluge de guimauve et pièce montée fourrée aux bons sentiments. Le film est un véritable archétype du genre, atteignant une certaine forme de perfection.
Perfect Friday / L’arnaqueuse (1970)
Un film de cambriolage très second degré avec un trio cultissime (Stanley Baker, David Warner et Ursula Andress)
Without a Clue / Elémentaire mon cher… Lock Holmes (1988)
Une parodie très agréable du mythe holmesien (mais sans le petit grain de folie qui aurait pu en faire un chef d’oeuvre du genre) avec un duo d’acteurs parfait (Michael Caine et Ben Kingsley)
Car of dreams (1935)
Car of dreams (1935). Une charmante petite comédie romantique des années 30. Léger comme une bulle de champagne.
The Italian Job / L’or se barre (1969)
Un classique du film de braquage mais avant tout une comédie très sixties qui garde tout son charme.
That Sinking Feeling (1979)
Des jeunes désenchantés dans un Glasgow plongé dans la grisaille. Un drame social? Non, une comédie débridée.
Gregory’s girl (1981)
Une comédie romantique adolescente sensible et souvent hilarante signée par le réalisateur écossais Bill Forsyth.
The Ruling Class / Dieu et mon droit (1972)
Peter O’Toole entre Dieu et le diable. Une satire féroce et très réussie de l’aristocratie britannique.
The Acid House (1998)
Comédie « welshienne » en roue libre, « The Acid House » ne le réconciliera pas avec ses détracteurs.
The 39 Steps / Les 39 marches (1935)
The 39 Steps (1935). Une très bonne comédie d’action, l’un des plus grands succès britanniques d’Hitchcock
Severance (2006)
Une comédie gore sur les stages d’immersion destinés à renforcer l’esprit d’équipe en entreprise. Sadique et drôle.
Dead fish (2005)
De la daube pseudo hype comme on en voit rarement. De bons acteurs perdus dans le vide intersidéral. Pathétique.
An American Werewolf in London / Le Loup-garou de Londres (1981)
Film d’horreur, mais également comédie, romance et buddy movie, le film de Landis ne se perd pas en chemin. La scène de la transformation est toujours aussi impressionnante.