Films britanniques (tous genres et toutes époques confondus)
Tous les films chroniqués sur ce site (classés par ordre de publication de la chronique – de la plus récente à la plus ancienne)
The Way to the Stars / Le chemin des étoiles (1945)
Un mélodrame émouvant signé Terence Rattigan et Anthony Asquith sur la vie au sol dans une base aérienne pendant la Seconde Guerre mondiale.
The Bridge on the River Kwai / Le Pont de la rivière Kwai (1957)
Un film épique sur la folie des hommes et l’absurdité de la guerre signé David Lean. Une méga production qui n’a pas pris une ride avec un Alec Guinness au sommet de son art
Long Shot (1978)
Comment faire un film indépendant à la fin des années 70 en Grande-Bretagne ? Une satire réjouissante du milieu du cinéma avec des grands noms au générique (Wenders, Boorman, Frears,…)
Pulp / Retraite mortelle (1972)
Un an après « Get Carter », Mike Hodges et Michael Caine nous proposent une comédie criminelle à l’humour très noir
Croupier (1998)
Un film noir sur le monde du casino qui a marqué le grand retour de Mike Hodges derrière la caméra et a mis Clive Owen sous le feu des projecteurs
Black Rainbow (1989)
Un thriller fantastique très sombre de Mike Hodges qui mérite bien mieux que l’oubli dans lequel il est tombé. A revoir d’urgence !
Somewhere in Camp (1942)
Une comédie anarchique consacrée à l’une des stars les plus incontrôlables du music hall, le mancunien Frank Randle
Come Play with Me (1977)
L’un des plus grands succès des années 70 au Royaume-Uni est une comédie érotique à tout petit budget, dont la star Mary Millington n’est présente que quelques minutes à l’écran
A King in New York / Un roi à New York (1957)
Une satire féroce de l’Amérique consumériste et maccarthyste par un Charlie Chaplin exilé acerbe, anarchique et rebelle. Un film imparfait mais passionnant
Bloody Sunday (2002)
Un film coup de poing, tourné comme un documentaire, sur l’un des épisodes les plus sanglants de la guerre civile en Irlande du Nord. Aussi magistral que douloureux à regarder
Borstal Boy (2000)
Une double romance mièvre qui sombre dans le mélodrame et manque cruellement de réalisme
Rome Express (1932)
» Rome Express »est un excellent thriller dans le style de “The Lady Vanishes” d’Hitchcock mais sorti six ans plus tôt !
Absolute Beginners (1986)
Bide monumental à sa sortie, cette super production mi-comédie musicale et mi-drame social a plutôt bien vieilli et mérite une seconde chance
Brown on Resolution / Forever England (1935)
Un film de guerre patriotique un peu déséquilibré mais avec de belles scènes de bataille navale. L’un des premiers grands rôles de John Mills
You Lucky People (1955)
Une comédie sur les réservistes dans la moyenne du genre qui marquait le grand retour de la star du music hall Tommy Trinder
Once Upon a Time in London (2019)
La trajectoire épique de deux des plus grands criminels anglais du XXe siècle, plombée par un budget rikiki qui contraint le film à toutes sortes de contorsions ridicules
A Taste of Honey (1961)
Premier rôle pour Rita Tushingham dans un portrait touchant d’adolescente désoeuvrée pour ce classique de la nouvelle vague anglaise signé Tony Richardson
Girl with Green Eyes (1964)
Une romance mélancolique et douce-amère avec une réalisation réaliste-poétique très maitrisée de Desmond Davis et un excellent trio d’acteurs
Georgy Girl (1966)
Anti-héroïne du Swinging London, Georgy (brillamment interprétée par Lynn Redgrave) est un sacré bout de femme. Un joli portrait, souvent aussi drôle que cruel, d’une jeune femme atypique et d’une période mythique
The Pumpkin Eater / Le mangeur de citrouilles (1964)
Troisième film et troisième chef d’oeuvre de Jack Clayton, voici un film qui dissèque avec une précision remarquable la place de la femme en tant que mère, épouse mais également individu à part entière !



















