Films britanniques (tous genres et toutes époques confondus)
Tous les films chroniqués sur ce site (classés par ordre de publication de la chronique – de la plus récente à la plus ancienne)
The Browning Version / Les leçons de la vie (1994)
Une modernisation assez réussie de la célèbre pièce de Rattigan mais qui vaut surtout pour la composition d’Albert Finney
Official Secrets (2019)
Une lanceuse d’alertes tente en vain d’empêcher que le Royaume-Uni s’engage auprès des Etats-Unis dans la 2ne guerre en Irak. Edifiant !
Animals (2019)
Un très joli duo d’actrices et beaucoup de vin blanc ne sauvent pas un film un peu vain et trop long
Rocks (2019)
Un drame social plein de bonnes intentions, magnifiquement porté par ses acteurs amateurs, mais desservi par une réalisation maladroite
Stranger in the House (1967)
Une adaptation de Simenon, dénonçant les hypocrisies de la bourgeoise de province, transcendé par un James Mason impérial
The Gentlemen (2019)
Un film de gangster qui se croit beaucoup plus intelligent et hype qu’il ne l’est. Guy Ritchie loupe son coup malgré un casting alléchant
Catch Me a Spy / Les doigts croisés (1971)
Une comédie d’espionnage dans la moyenne du genre mais avec un sacré duo, Kirk Douglas et Marlène Jobert !
Bait (2019)
Un film formellement audacieux qui ne tombe pas dans l’exercice de style et démontre une véritable maitrise et puissance.
Secret Lives (1937)
Le destin tragique d’une jeune allemande manipulée par les services secrets français durant la première guerre mondiale ! Une réalisation baroque et une sacrée présence à l’écran de Brigitte Horney
A Day of Violence (2010)
Un film de gangsters aussi gore que le budget est minuscule. Pour spectateurs très avertis et amoureux de charcuterie !
The Awakening / La malédiction de la vallée des rois (1980)
Un petit film d’horreur, dans l’ensemble maladroit et longuet, adapté d’un roman de Bram Stoker. Plaisant toutefois pour les amateurs de gothique égyptien
Tom Jones (1963)
Une brillante farce et satire de l’Angleterre du XVIIIe par l’un des maîtres de la nouvelle vague britannique, Tony Richardson. Quatre Oscars et un triomphe public mérités !
Dr. Who and the Daleks (1965)
La plus mythique des séries SF anglaises est portée sur grand écran deux ans après sa création. Malheureusement, le résultat est très primitif
Life of Brian (1979)
Monty Python Life of Brian (La vie de Brian), l’une des meilleures comédies britanniques de tous les temps, a pourtant failli ne jamais voir le jour
Scrooge (1970)
Une adaptation assez réussie du célèbre conte de Dickens sous forme de comédie musicale. Albert Finney y est méconnaissable en vieux grippe-sou !
Tower of Terror / La tour de la terreur (1941)
Thriller d’espionnage en temps de guerre avec une touche horrifique, un petit film original bien fichu et avec un joli casting
West 11 (1963)
Une errance sombre dans le Notting Hill des sixties, une perle noire signée Michael Winner à découvrir sans tarder
A Man of No Importance (1994)
Une belle prestation d’Albert Finney, contrôleur de bus homosexuel et amoureux de théâtre dans un Dublin catholique. Dommage que le scénario soit un peu convenu
The Bostonians / Les Bostoniennes (1984)
Adaptant un roman d’Henry James, le trio Ivory/Merchant/Prawer Jhabvala nous livre un mélo longuet avec des personnages horripilants
German Concentration Camp Factual Survey (1945)
Resté dans les cartons depuis 1945 pour finalement être achevé en 2014, ce film sur la libération des camps se révèle être un document inestimable