Films britanniques (tous genres et toutes époques confondus)
Tous les films chroniqués sur ce site (classés par ordre de publication de la chronique – de la plus récente à la plus ancienne)
Promising Young Woman (2020)
Un thriller glaçant sur le mode du revenge movie, qui joue avec le spectateur pour livrer un final sous forme de coup de poing dans l’estomac. Bien vu et bien fait sur un thème malheureusement d’actualité
The Chalk Garden / Mystère sur la falaise (1964)
Un mélodrame parfois desservi par quelques choix maladroits mais largement sauvé par son quatuor féminin fort divinement interprété par de grandes dames du cinéma britannique
A Boy Called Dad (2009)
Un film sur le manque de père qui veut trop en faire et tombe dans le misérabilisme avec un personnage central qui en devient irréaliste
Candyman (1992)
Un film d’horreur culte, l’un des premiers à mettre en image les légendes urbaines (celle-ci étant imaginée de toutes pièces par le liverpuldien Clive Barker)
Smashing Time (1967)
Une comédie colorée qui touche parfois juste par son regard satirique sur le Swinging London et nous propose de retrouver un bien joli duo : Rita Tushingham et Lynn Redgrave
The Horse’s Mouth (1958)
Une comédie très réussie et une reflexion sur l’art portée par Alec Guinness qui en signe le scénario et endosse le rôle principal
The Good Liar / L’art du mensonge (2019)
Un thriller ambitieux qui vire au grotesque. Mais quel duo à l’écran : Helen Mirren et Ian McKellen !
Night of the Big Heat / La nuit de la grande chaleur (1967)
Un petit film de SF horrifique qui lorgne du côté de « Quatermass » et marque la dernière collaboration du trio Fisher-Lee-Cushing
Silent Scream (1990)
Un biopic arty et peu orthodoxe d’un homme condamné à la prison à perpétuité pour meurtre et dévoré par sa folie et la drogue qu’on lui fournit pour le calmer
Zardoz (1974)
Longtemps considéré comme un pur nanar, « Zardoz » est pourtant une fable philosophique pessimiste qui mérite d’être prise au sérieux et reste le film le plus personnel de John Boorman
The Emerald Forest (1985)
Une fable humaniste plus qu’écologiste réalisée par un John Boorman au sommet de sa forme
The Nest (2020)
Un drame sur les nouveaux riches, et leurs failles cachées, un peu trop prétentieux, mais qui bénéficie d’une belle photo et de formidables acteurs
The Triple Echo (1972)
Un drame psychologique intrigant mais pas toujours crédible, malgré un beau trio d’acteurs, où un déserteur doit se faire passer pour la soeur de la femme qu’il aime.
Host (2020)
Le film d’horreur de la génération Zoom, c’est à dire de nous tous qui en 2020 avons été obligés de virtualiser nos relations sociales
Boys from County Hell (2020)
Une comédie horrifique distrayante où l’on rencontre l’ancêtre de Dracula caché dans un village irlandais
Under the Shadow (2016)
Un film d’horreur qui dresse un portrait d’une société iranienne de la fin des années 80 en pleine turbulence où les femmes sont les premières cibles. Une belle surprise
Highlander (1986)
Un film d’aventures fantastique culte so eighties. Une couche d’auto-dérision sauve in extremis « Highlander » du ridicule. Un plaisir coupable pour tous les nostalgiques
Satan’s Slave (1976)
Le premier film d’exploitation horrifique de Norman J. Warren est une fort sympathique variation sur le thème de la sorcellerie
The Night Digger (1971)
Une ambiance malsaine parfaitement maitrisée, un casting porté par Patricia Neale et Pamela Brown. Aujourd’hui encore la moralité trouble de cette histoire fait son effet
Secret Friends (1991)
Un film étrange, complexe, déconcertant, écrit et réalisé Dennis Potter, l’un des plus grands scénaristes de la télévision britannique