Films britanniques (tous genres et toutes époques confondus)
Tous les films chroniqués sur ce site (classés par ordre de publication de la chronique – de la plus récente à la plus ancienne)
St. Martin’s Lane / Vedettes du pavé (1938)
Une charmante comédie, un brin amère, avec un très beau duo, Charles Laughton et Vivien Leigh en artistes des rues londoniennes. A redécouvrir !
The Reckoning / Sorcière (2020)
Neil Marshall nous sert un drame horrifique gentiment féministe mais peu crédible qui s’adresse surtout aux adolescents ou jeunes adultes pas trop regardants
A Werewolf in England (2020)
Une comédie horrifique de série Z mais au moins il y a bien des acteurs qui portent des costumes de loups garous, c’est déjà ça
The Souvenir (2019)
Joanna Hogg livre un portrait de romance toxique en conservant son style personnel, exigeant pour le spectateur
The League of Gentlemen’s Apocalypse (2005)
Une adaptation cinématographique de la célèbre série, reine de l’humour noir. Malheureusement le résultat est plutôt laborieux
The Happy Prince (2018)
Rupert Everett, habité par le rôle, nous livre un portrait intime et sombre des dernières années de la vie d’Oscar Wilde
Wilde (1997)
Un biopic convaincant d’Oscar Wilde qui se consacre comme ses prédécesseurs à ses dernières années et au scandale qui le fit tomber de son piédestal. Stephen Fry y trouve sans surprise son plus grand rôle
Oscar Wilde (1960)
Un biopic sur les dernières années tragiques d’Oscar Wilde mais l’homme de lettres flamboyant y est étonnement sobre, voire un peu terne.
The Trials of Oscar Wilde / Les procès d’Oscar Wilde (1960)
Un très beau film sur la déchéance d’Oscar Wilde qui, s’il ne fait pas dans la nuance, livre un portrait attachant du grand homme, superbement interprété par Peter Finch
Doctor Faustus (1967)
Une adaptation baroque quasi expérimentale de « Faust » de Christopher Marlowe par un Richard Burton omniprésent et une Elizabeth Taylor sans aucun dialogue
Night Hair Child (1972)
Un thriller seventies sur un enfant pas si innocent et sa confrontation avec sa jeune et séduisante belle mère. Un duel malsain assez terrifiant !
Sahara (1983)
Un film d’aventures et une romance à la gloire de la beauté de Brooke Shields qui tente de mélanger différentes recettes à succès… en vain.
Silent Night (2020)
Un film criminel sombre, pas follement original, mais suffisamment bien conçu pour maintenir l’intérêt.
Censor (2021)
En pleine période du phénomène des « video nasties », une censeuse perd les pédales. Un film d’horreur psychologique un peu trop classique sur une idée prometteuse.
Preaching to the Perverted (1997)
Une comédie romantique atypique et audacieuse sur l’univers BDSM qui pourfend les gardiens auto-proclamés de la moralité
I Start Counting (1969)
Un film complexe sur le passage à l’âge adulte plus qu’un thriller d’exploitation, « I Start Counting » est étonnant et inattendu
Ex Machina (2014)
Une première réalisation réussie pour le scénariste Alex Garland. Un très bon huis clos SF sur le thème de l’intelligence artificielle
Dream Horse (2020)
Un feel good movie qui emprunte largement aux recettes bien éprouvées des comédies Ealing. Aussi charmant que sans surprise
Rembrandt (1936)
La seconde et dernière collaboration entre Alexander Korda et Charles Laughton est une jolie réussite cinématographique et une belle réflexion sur le statut d’artiste
Corridors of Blood (1958)
Une description brutale de la misère des quartiers populaires londoniens pendant la période victorienne marquée aussi par la rencontre de deux géants : Boris Karloff et Christopher Lee