Films et séries de la télévision britannique
Ludwig (2024)
Une comédie criminelle classique mais à l’exécution sans faute. Un futur classique de la télévision britannique ?
Dreaming Whilst Black (2023)
Pas facile de devenir cinéaste quand on n’a pas de relations et qu’on fait partie d’une minorité. La route est longue et cahoteuse, mais Kwabena arrivera-t-il à réaliser son rêve ?
Small Axe (2020)
Une anthologie de cinq téléfilms, signée Steve McQueen, qui livre un portrait riche de la communauté londonienne originaire des Indes Occidentales et de leur combat pour devenir des citoyens comme les autres
Psy-Warriors (1981)
Un brûlot politique sur les sombres réalités de la guerre froide et du terrorisme des années 70 où la moralité perd toute sens. La terreur contre la terreur.
Edna, the Inebriate Woman (1971)
Un téléfilm de la BBC au ton juste sur une vieille femme sans abri, magnifiquement interprétée par Patricia Hayes. Un drame social culte qui dénonce les maltraitantes institutionnelles subies par les SDF
We Are Lady Parts (2021-)
Une sitcom où de jeunes musulmanes londoniennes forment un groupe de punk féminin ! Un pitch audacieux pour une série réussie mais au ton étonnamment léger
A Hole in Babylon (1979)
Un téléfilm engagé d’Horace Ové basé sur un fait divers réel. L’occasion pour lui de dénoncer le racisme structurel de la Grande-Bretagne vis-à-vis de ses minorités
Supacell (2024)
Une série où des habitants noirs du Sud de Londres se retrouvent dotés de super pouvoirs. Parfois originale, parfois convenue, mais un bon divertissement
National Treasure / Monstre sacré (2016)
Une mini-série très réussie et audacieuse sur une problématique qui allait bientôt éclatée et devenir un sujet de société grâce au mouvement #MeToo
Penda’s Fen (1974)
Une ode parfois absconse à la dissonance qui emprunte les chemins de la folk fantasy/horror pour raconter le passage à l’age adulte d’un jeune adolescent sur fond de lutte entre christianisme et Dieux païens
The Third Day (2020)
Une mini-série de folk horror réussie, qui nage dans une ambiance malsaine constante, entre thriller fantastique, drame familial et horreur lovecraftienne
Desmond’s (1989-94)
Cette sitcom culte centrée autour de la communauté caribéenne de Londres est l’un des plus gros succès de Channel 4
The Lost Prince (2003)
Un portrait sensible d’un jeune prince britannique oublié sur fond de déchirements de la grande famille royale européenne pendant la première guerre mondiale
Robin Redbreast (1970)
Un drame horrifique culte dans la pure tradition du Folk Horror où une jeune femme moderne doit faire face à un monde rural qui s’accroche à ses traditions séculaires, fussent-elles sinistres
The Frighteners (1972-73)
Pendant longtemps oubliée, une courte anthologie qui comprend des épisodes remarquables autour des peurs contemporaines et urbaines, dont un écrit et réalisé par Mike Hodges
Help (2021)
Un drame fort et sensible sur la détérioration des soins sur fond de Covid avec un excellent duo d’acteurs Jodie Comer et Stephen Graham
Quatermass (1979)
La conclusion de la série mythique de la SF britannique, encore plus pessimiste et sombre que les précédentes versions des années 50. Noir c’est noir !
Honour (2020)
Un téléfilm policier qui traite un sujet grave (les crimes d’honneur) mais se concentre un peu trop sur l’enquête et pas assez sur la victime et le fond
Nineteen Eighty-Four (1954)
Deuxième adaptation télévisée du chef d’oeuvre de George Orwell, « 1984 » est un monument de la télévision britannique qui fit scandale à son époque
Harry’s Game / Le tueur de Belfast (1982)
Un thriller fort et sombre sur fond de guerre civile en Irlande du Nord à l’intrigue « malheureusement » bien trop réaliste.