Films dramatiques britanniques
Blood (2012)
« Blood » (2012), un thriller fort en émotion qui profite d’une belle photo et d’un beau casting mais dont les personnages et l’intrigue ne sont pas assez développés
Stormy Monday / Un lundi trouble (1988)
Premier film de Mike Figgis, un film noir avec une ambiance jazzy très agréable et un regard intéressant sur l’influence américaine et l’invasion de l’ultra libéralisme au UK
Figures in a Landscape / Deux hommes en fuite (1970)
Un film atmosphérique et quasi métaphysique injustement méconnu de Joseph Losey. Robert Shaw et Malcolm McDowell sont impeccables.
The Key / La clé (1958)
« The Key » est l’un des films oubliés de la dernière partie de la carrière de Carol Reed. Pourtant ce long métrage au pitch intrigant et au casting impressionnant mériterait qu’on s’intéresse à nouveau à lui.
Cry Freedom (1987)
Cinq ans après « Gandhi », Richard Attenborough revient dans le cinéma engagé avec un film fort qui dénonce les horreurs de l’Apartheid. Démonstratif, parfois maladroit, mais efficace.
Petulia (1967)
Un film crépusculaire étonnant et brillant qui dégage une aura de fin du monde. Un chef d’oeuve signé Richard Lester
The Imitation Game (2014)
Sans être mauvais, The Imitation Game en fait un peu trop pour être honnête et s’enfonce dans un classicisme outrancier.
Angel (1982)
Premier film de Neil Jordan, une oeuvre intimiste et onirique sur la vengeance et la folie.
The Insomniac (1971)
Réalisé par un documentariste urbain, une jolie histoire fantastique, ode au rêve, à l’amour et à la nature
Sleepwalker (1984)
Une satire sociale sous forme de film d’horreur. Un moyen métrage de 1984 longtemps oublié redécouvert à la fin des années 90
Locke (2013)
Un one man show et un exercice de style assez impressionnant. Très belle performance de Tom Hardy mais le film aurait bénéficié d’une plus grande finesse psychologique.
London Belongs to Me (1948)
Un film chorale ambitieux et réussi, notamment grâce à un casting exemplaire, dans le Londres de la fin des années 30
The Dead / Les gens de Dublin (1987)
Le cinéma s’est rarement autant rapproché de la poésie. Le dernier chef d’oeuvre de John Houston mérite toutes les louanges. Magnifique.
The Shout / Le cri du sorcier (1978)
Un duel psychologique qui vire vers le fantastique et l’abscons. Pas facile à suivre malgré de belles prestations d’acteurs de la part d’Alan Bates et John Hurt et un travail intéressant sur le son.
Pressure (1975)
Premier « film noir » du cinéma britannique, « Pressure » est tout simplement un beau film plein d’humanité qui met en avant les contradictions et les histoires individuelles d’une minorité ethnique qui lutte pour la survie.
Stardust (1974)
Brillante seconde partie du diptyque consacré à la rock star pathétique Jim McLaine. Plus rock, plus hard.
That’ll be the day (1973)
The dark side of Rock’n’Roll. Première partie d’un sombre diptyque sur une rock’n’roll star au destin pathétique, Jimmy McLaine incarné par un David Essex brillant.
Frieda (1947)
Un mélodrame de fin de guerre signé Basil Dearden. Un village britannique est-il prêt à accueillir une jeune Allemande… même si elle a sauvé un soldat anglais ? Le pardon est-il possible ?
Death Drives Through (1935)
Un petit quota quickie sans prétention mais avec quelques belles scènes de course automobile
Seacoal / Les charbonniers de la mer (1985)
Entre fiction et documentaire, « Seacoal » nous propose une histoire poignante et profondément humaine d’une poésie brute.