Films britanniques (tous genres et toutes époques confondus)
Tous les films chroniqués sur ce site (classés par ordre de publication de la chronique – de la plus récente à la plus ancienne)
Bird (2024)
Une fable sur l’étrange transition qui conduit à la perte de l’enfance, montrée à travers l’histoire d’une jeune fille de 12 ans. Un joli film surprenant entre réalisme et fantastique
Flame in the Streets (1961)
Un drame poignant et violent sur le racisme anti noir trois ans après les émeutes raciales de 1958 à Nottingham et Notting Hill. Des personnages déchirés, contradictoires, portés par d’excellents acteurs. Un film unique en son genre !
Licence to Kill / Permis de tuer (1989)
Deuxième et dernier Bond de Timothy Dalton, « Licence to Kill » enfonce le clou du 007 sombre et « réaliste » avec plus de violence (mais aussi quelques concessions)
In a Strange Land (2017)
Un film dur sur l’esclavage moderne d’une jeune femme « importée » d’Afrique et employée comme domestique dans une famille aisée où elle subit violences et humiliations
The Rachel Papers / Le dossier Rachel (1989)
Un teen movie adapté de Martin Amis qui a du caractère et s’appuie sur un très beau casting mais passe à côté de quelques qualités qui auraient pu en faire un classique
Melanie’s Grave (2024)
Un petit thriller à micro budget qui souffre d’un scénario trop basique mais surtout d’une interprétation peu convaincante
Fun and Games (1971)
Une nymphomane dans une prison ? Sur ce thème tout droit venu des années 70, « Fun and Games » nous propose une version plutôt sage et plus dramatique que provocante
Wuthering Heights (2011)
Une lecture libre, organique, épurée et inspirée du roman d’Emily Brontë autour d’une histoire d’amour sombre et cruelle
Tomorrow Never Dies / Demain ne meut jamais (1997)
Heureusement qu’il y a Michelle Yeoh, car sinon cet opus de 007 propose l’un des pires scénarios de la franchise, à la la limite du parodique mais sans humour et moyennement divertissant
The Living Daylights / Tuer n’est pas jouer (1987)
Timothy Dalton remplace Roger Moore dans le rôle du célèbre agent secret britannique. Changement dans la continuité, retour aux sources ?
My London Slave (2019)
Une histoire poignante de femmes nigérianes emmenées à Londres puis violentées et exploitées par leurs maris
Crossplot (1969)
Entre The Saint et James Bond, Roger Moore traine son tuxedo dans un pseudo thriller politique mais une vraie comédie d’aventures avec son lot de charme et de bagarres
Baby Brother (2024)
Un premier film très amateur qui tente de s’inscrire dans la longue tradition des kitchen sink dramas avec l’histoire de deux frères dont l’avenir est tout tracé… pour le pire
A Midsummer Night’s Dream (1968)
Une adaptation aussi kitsch que réussie de l’une des meilleures comédies de Shakespeare. Avec un casting tout simplement exceptionnel !
Edge of Sanity / Dr. Jekyll and Mr. Hyde (1989)
Anthony Perkins joue un rôle sur mesure, mélange de Dr Jekyll et Jack l’éventreur, dans une adaptation libre très stylisée et expressionniste du roman de Stevenson
GoldenEye (1995)
Une fois le mur de Berlin tombé, que va-t-il advenir de 007 ? Il ne vas pas chômer ! Martin Campbell signe un James Bond réussi avec un Pierce Brosnan qui endosse un costume qui lui va comme un gant
A View to a Kill / Dangereusement vôtre (1985)
Le dernier James Bond de Roger Moore, souvent malaimé, mais qui ne démérite pas avec ses cascades improbables et des méchants d’anthologie.
Hard Truths / Deux soeurs (2024)
Mike Leigh revient avec un film déchirant et débordant d’humanité sur les ravages de la dépression, porté par une magnifique Marianne Jean-Baptiste
Harvest (2024)
S’il peut sembler parfois opaque à force d’entretenir le mystère, « Harvest » bénéficie d’une ambiance bien particulière, non dénuée d’humour, qui fait tout son charme
A Cottage on Dartmoor (1929)
Une histoire d’obsession amoureuse et de jalousie mortifère classique mais merveilleusement mise en image par un Anthony Asquith au pinacle de son inventivité visuelle