Si Peter O’Toole a fait des débuts timides à la télévision dès 56 puis au cinéma en 1960, la gloire est arrivée vite et de nulle part deux ans plus tard quand il endosse un rôle d’abord proposé à Marlon Brando et Albert Finney, celui de l’aventurier TE Lawrence dans l’épique « Lawrence of Arabia » (1962) de David Lean.
Dans sa longue carrière, prolifique voire boulimique, qui durera jusqu’à sa mort en 1985, James Mason n’a jamais connu de passage à vide, et a fait montre d’une belle solidité de jugement, jouant pour tous les plus grands réalisateurs, des deux côtés de l’Atlantique. Et évitant de se retrouver bloquer dans un type de rôle, même s’il faut bien l’avouer, il excellait particulièrement dans les personnages moralement ambivalents, sombres et tragiques voir sadiques.
Richard Attenborough est probablement l’une des figures les plus marquantes du cinéma britannique. Acteur, producteur et réalisateur hyper actif, à la tête de nombreuses institutions et affaires, son génie a profondément marqué le cinéma britannique des années 40 à la fin des années 90.
Stanley Baker devra ses meilleurs rôles principalement à deux réalisateurs : Joseph Losey et Cy Enfeld.
Acteur, scénariste et réalisateur, Bryan Forbes reste une figure importante du cinéma britannique des années 60 grâce à quelques très bons films et sa collaboration avec Richard Attenborough.
Basil Dearden est l’exemple même du réalisateur de talent injustement oublié qui a notamment abordé des sujets sociaux à travers des films de genre.
