Films britanniques (tous genres et toutes époques confondus)
Tous les films chroniqués sur ce site (classés par ordre de publication de la chronique – de la plus récente à la plus ancienne)
Four Lions / We are four lions (2010)
« We are four lions » est une comédie britannique sur le terrorisme réalisée par Christopher Morris en 2010.
Bedazzled / Fantasmes (1967)
Quand le réalisateur de « Chantons sous la pluie » rencontre des petits génies du mouvement satirique britannique des années 60, cela donne « Bedazzled ».
Here we go round the mulberry bush (1967)
Pour l’époque « Here we go round… » est un film osé, avec même une paire de seins (!), des dialogues crus, des sous-vêtements, une capote,…
Trainspotting (1996)
Un film coup de poing, un film rock’n’ roll (la bande son est culte), qui frise l’opportunisme et une certaine facilité, mais qui impose le style Danny Boyle.
Loving memory (1970)
Bien loin de ses grosses productions hollywoodiennes, Tony Scott signait ici un premier film intimiste qui rappelle les oeuvres d’Harold Pinter et Samuel Beckett.
Eden lake (2008)
On ne peut pas dire qu’Eden Lake soit original (le pitch est plutôt niais), mais il va jusqu’au bout dans la violence, la cruauté et l’immoralité.
Orphans (1998)
Avec « Orphans », mine de rien, Peter Mullan nous propose un film sensible et très intelligent sur la famille et sur la perte d’un proche.
King and country / Pour l’exemple (1964)
« King and country » est un film à petit budget, sans concession, co-produit par Losey lui-même, qui se déroule intégralement dans les tranchées de la 1ère guerre mondiale.
The Wicker man (1973)
« The Wicker Man » baigne dans une atmosphère malsaine, à la limite de l’horreur, mais contient aussi des morceaux chantés kitchissimes. Culte !
History boys / Wild generation (2006)
« History boys » est adapté d’une pièce d’Alan Bennett qui n’est pas loin d’être une légende vivante en Grande Bretagne et c’est peut être justement le problème.
Zulu / Zoulou (1964)
Zoulou a peu vieilli, porté par une réalisation remarquable (très belle chorégraphie des combats) et les interprétations de Stanley Baker et Michael Caine qui jouent ici à contre-emploi.
Doctor in the house / Toubib or not toubib (1954)
« Doctor in the house » est l’un des plus grands succès de l’après guerre en Grande Bretagne (17 millions de spectateurs) et a fait de Dirk Bogarde une star.
Murder ahoy / Passage à tabac (1964)
« Murder ahoy » est une charmante petite comédie policière totalement désuète menée tambour battant par Margaret Rutherford dans le rôle de Miss Marple
Pygmalion (1938)
« Pygmalion », qui bénéficie en outre d’une réalisation solide et dynamique, est une excellente comédie qui malgré ses 70 ans vous fera encore passer un bon moment.
A matter of life and death / Une question de vie ou de mort (1946)
« A matter of life and death » de Powell et Pressburger a été élu en 2004 le second meilleur film britannique de tous les temps derrière « Get Carter ».
Number Seventeen / Numéro 17 (1932)
« Number 17 » est un petit film, distrayant, mais qui n’arrive pas à la cheville des grands Hitchcock, pour cause de scénario et de dialogues confus.
Hobson’s choice / Chaussure à son pied (1954)
David Lean filme admirablement bien, et avec beaucoup d’ironie, cette Angleterre en pleine ère industrielle entre misère générale et richesse de quelques uns.
Blithe Spirit / L’esprit s’amuse (1945)
Tiré d’une pièce de Noel Coward, « Blithe spirit » de David Lean est une charmante petite comédie tissée dans un humour noir tout en élégance.
The likely lads (1976)
« The likely lads » est l’un des nombreux films destinés exclusivement au marché anglais et basé sur une série télé populaire. On retrouve l’esprit de la brillante sitcom originale (1964-66)
Seance on a wet afternoon (1964)
L’une des beautés du film, admirablement filmé par Bryan Forbes, est de ne jamais essayer de capturer notre imagination et de la faire tenir en place.