Films britanniques (tous genres et toutes époques confondus)
Tous les films chroniqués sur ce site (classés par ordre de publication de la chronique – de la plus récente à la plus ancienne)
September Says (2024)
Un premier long métrage réussi autour d’un drame familial avec une pointe de mystère et de surréalisme dans sa dernière partie
Freud’s Last Session (2023)
Un duel théologique et moral entre deux grands intellectuels alors que la seconde guerre mondiale éclate. Un peu empesé mais très bien porté par de grands acteurs
Paul and Paulette Take a Bath (2024)
Une jolie romance atypique entre un jeune Américain à l’allure nonchalante et une parisienne obsédée par les faits divers criminels et une balade dans l’histoire sombre de Paris
Passport to Shame (1958)
Un film criminel brillant, et au casting en or, qui emprunte les codes des films noirs afin de traiter directement et sans ambages de la prostitution
Death Ship (1980)
Un chouette film d’horreur où le spectateur est plongé dans les entrailles d’un bateau fantôme au lourd passé. Un cadre un peu plus original que la sempiternelle maison hantée, non ?
DarkGame (2024)
Un thriller horrifique pas original pour un sou mais efficace qui nous livre un suspense sombre et violent… jusqu’à la caricature
The Deep (1977)
Un film d’aventures avec un joli casting qui est à son meilleur dans les séquences maritimes heureusement assez nombreuses
The Ledge (2022)
Un thriller efficace où une jeune femme, témoin d’un meurtre, tente de fuir les coupables, bien décidés à effacer toute trace de leur acte, en escaladant une montagne.
Escape (2023)
Un thriller assez efficace sur des jeunes femmes qui tentent de s’échapper d’un gang qui compte bien les envoyer à l’autre bout du monde en tant qu’esclaves sexuels
The Informer (1929)
Un excellent thriller mélodramatique sur fond de règlement de compte au sein de l’IRA. Un petit bijou à découvrir grâce à une très belle restauration du BFI
The Last Seven (2010)
Un film fantastique fait avec très peu de moyens, parfois maladroit mais qui a le mérite d’avoir une certaine ambition
The Truth About Women (1957)
Une excellente comédie signée Muriel Box où l’on se moque des attentes de la société sur ce qui doit être la place intangible de la femme mais aussi de l’homme
Resident Evil (2002)
Film d’action très librement inspiré d’un jeu vidéo horrifique, « Resident Evil » ne marquera pas les esprits par sa subtilité, mais se montre efficace
She Will (2021)
Un drame horrifique fort avec une ambiance travaillée sur une thématique post MeToo mais qui manque parfois de subtilité aussi bien sur la forme que sur le fond
The Outrun (2024)
Un portrait, entre Londres et l’Ecosse, d’une jeune femme qui se noie dans l’alcoolisme. Belle prestation de Saoirse Ronan dans un film pas toujours convaincant
The Passionate Stranger / L’étranger amoureux (1957)
Une romcom satirique et ingénieuse entre fantasme hollywoodien et réalité britannique. Une belle réussite signée Muriel Box et co-scénarisée par son mari Sydney
Rattle of a Simple Man (1964)
Avant la libéralisation des moeurs, ce film est l’un des très rares à parler si ouvertement de sexe à travers l’histoire tragi-comique d’un vieux garçon qui va enfin (ou pas) se déniaiser dans les bras d’une prostituée
Against the wind / Les guerriers dans l’ombre (1948)
Une production Ealing sur des personnages de l’ombre, les espions et saboteurs envoyés derrière les lignes ennemies avec des chances de survie très faibles. Un drame cruel où l’héroïsme semble vain
The Circle (2017)
Un petit film de folk horror qui malheureusement s’échoue sur un écueil scénaristique difficilement excusable
Starve Acre (2023)
Un drame horrifique qui s’inscrit dans le sous-genre du folk horror et mise tout sur une ambiance pesante très travaillée. Est-ce suffisant ?



















