Films britanniques (tous genres et toutes époques confondus)
Tous les films chroniqués sur ce site (classés par ordre de publication de la chronique – de la plus récente à la plus ancienne)
The Unlikely Pilgrimage of Harold Fry (2023)
Un film inégal, mais souvent émouvant sur la vieillesse et les regrets, porté par deux grands acteurs (Jim Broadbent et Penelope Wilton)
Letter to Brezhnev (1985)
Succès surprise de l’année 1985, ce petit film indépendant tourné à Liverpool, propose une romance aussi improbable que réjouissante
Four (2011)
Un thriller en huis-clos dont le scénario et la réalisation, trop distendues, ont peine à maintenir l’intérêt sur la durée malgré de bons acteurs
A Fish Called Wanda / Un poisson nommé Wanda (1988)
Projet improbable de John Cleese, cette comédie où se mêlent à égale mesure humour, romantisme et cruauté des plus noires, est indiscutablement l’une des réussites comiques des années 80
Moby Dick (1956)
Entre film d’aventures lyrique et drame métaphysique aux allures shakespeariennes, le souvent mésestimé « Moby Dick » fait partie des classiques signés John Huston
Dark Places / Le manoir des fantasmes (1974)
Une curiosité, ce petit thriller horrifique un peu désuet se démarque quand même par une réalisation assurée de Don Sharp et un casting cinq étoiles
The Last Page (1952)
Un polar de série B, premier film de la collaboration Hammer/Lippert, réalisé par Terence Fisher et transcendé par la présence magnétique de Diana Dors
Ladies Who Do (1963)
Une comédie sociale satirique où des femmes de ménage s’initient à la haute finance pour ne pas se faire expulser de leur quartier
The Proud Valley (1940)
Un très beau drame social qui offre à l’acteur afro-américain Paul Robeson sa plus belle prestation à l’écran… dans les mines galloises !
Blue Jean (2022)
Un portrait sensible d’une jeune femme lesbienne introvertie durant les années Thatcher alors qu’est promulguée la fameuse section 28 visant à limiter la « promotion » de l’homosexualité
Glorious 39 / Lady Keyes (2009)
Un thriller et drame familial qui s’inscrit dans la grande histoire, à la veille de la guerre, et propose une lecture originale et distinctive de la période, bien plus sombre qu’on nous la montre d’habitude.
Enys Men (2022)
L’âme cornouaillaise transposée à l’écran par Mark Jenkin entre drame, film d’horreur et film expérimental. Le résultat est aussi hypnotisant que déconcertant
The Eternal Daughter (2022)
Joanna Hogg revient avec une dissection des relations mère/fille, portée par une Tilda Swinton impériale et une ambiance mystérieuse qui emprunte aux codes de l’horreur
My Name Is Alfred Hitchcock (2022)
Un documentaire souvent passionnant et original qui décortique avec minutie l’oeuvre d’Alfred Hitchcock par le maitre lui-même, spécialement revenu des morts pour s’adresser à son public !
The Devil’s Doorway (2018)
Partant de fais réels (les couvents catholiques irlandais pour femmes de « petite vertue »), les scénaristes rajoutent des éléments horrifiques presque superflus, mais « diablement » efficaces !
Luther: The Fallen Sun (2023)
Luther, le détective londonien incarné par Idriss Elba, fait son retour dans un film produit pour Netflix. Une bonne idée ?
Unwelcome (2022)
Un film d’horreur où des goblins sanguinaires et des dégénérés locaux s’en prennent à un jeune couple fuyant la violence urbaine pour s’installer dans la campagne irlandaise
The Son (2022)
Pour son deuxième film, deux ans après « The Father », le dramaturge français Florian Zeller s’essaie au mélo… et c’est le drame !
Empire of Light (2022)
Instantané d’une époque révolue ou peut-être pas tant que ça. Si la pellicule et les palais du 7e art ont quasiment disparu, les inégalités de la « vraie » vie restent
Blooomfield (1970)
Unique réalisation de Richard Harris, « Bloomfield » est une comédie dramatique où Harris joue le rôle d’un footballer en fin de carrière