Films britanniques (tous genres et toutes époques confondus)
Tous les films chroniqués sur ce site (classés par ordre de publication de la chronique – de la plus récente à la plus ancienne)
And Soon the Darkness (1970)
Un thriller stylé et inquiétant tourné dans la campagne française et écrit par deux maîtres de la télévision pop des swinging sixties, Terry Nation et Brian Clemens.
Father Brown / Détective du bon Dieu (1954)
Une excellente comédie familiale anarchiste avec un Alec Guinness en grande forme dans le rôle du fameux prêtre et détective amateur.
Dark Journey / Le mystère de la section 8 (1937)
Une romance sur fond d’espionnage et de guerre qui met en scène deux grands acteurs Conrad Veidt et Vivien Leigh
Love actually (2003)
Attention déluge de guimauve et pièce montée fourrée aux bons sentiments. Le film est un véritable archétype du genre, atteignant une certaine forme de perfection.
Frank (2014)
Un délire esthétisant et surréaliste qui en fait un peu trop pour être totalement honnête.
Queen and Country (2014)
Le testament apaisé et rieur d’un cinéaste anglais qui porte un regard amusé teinté de mélancolie sur l’après guerre et le changement de mentalité qui s’y opère dans la douceur. Tout change, rien ne change.
Pressure (1975)
Premier « film noir » du cinéma britannique, « Pressure » est tout simplement un beau film plein d’humanité qui met en avant les contradictions et les histoires individuelles d’une minorité ethnique qui lutte pour la survie.
Stardust (1974)
Brillante seconde partie du diptyque consacré à la rock star pathétique Jim McLaine. Plus rock, plus hard.
That’ll be the day (1973)
The dark side of Rock’n’Roll. Première partie d’un sombre diptyque sur une rock’n’roll star au destin pathétique, Jimmy McLaine incarné par un David Essex brillant.
Frieda (1947)
Un mélodrame de fin de guerre signé Basil Dearden. Un village britannique est-il prêt à accueillir une jeune Allemande… même si elle a sauvé un soldat anglais ? Le pardon est-il possible ?
The Man Who Finally Died (1963)
Un bon petit thriller pas follement original mais qui brille par son casting (Stanley Baker, Peter Cushing, Eric Portman,…)
Perfect Friday / L’arnaqueuse (1970)
Un film de cambriolage très second degré avec un trio cultissime (Stanley Baker, David Warner et Ursula Andress)
Death Drives Through (1935)
Un petit quota quickie sans prétention mais avec quelques belles scènes de course automobile
Assault (1971)
Pâle tentative de photocopie des gialli alors à la mode en Italie, ce thriller se fait surtout remarquer par la beauté plastique de ses actrices principales
Seacoal / Les charbonniers de la mer (1985)
Entre fiction et documentaire, « Seacoal » nous propose une histoire poignante et profondément humaine d’une poésie brute.
Without a Clue / Elémentaire mon cher… Lock Holmes (1988)
Une parodie très agréable du mythe holmesien (mais sans le petit grain de folie qui aurait pu en faire un chef d’oeuvre du genre) avec un duo d’acteurs parfait (Michael Caine et Ben Kingsley)
Doomsday (2006)
Hommage revendiqué à « Mad Max » et « New York 1997 », Neil Marshall signe un film de SF bourré d’action et de n’importe quoi. Un plaisir coupable !
Dracula / Le cauchemar de Dracula (1958)
Le classique de la Hammer avec un Christopher Lee toujours aussi impressionnant dans son rôle fétiche.
Last Holiday / Vacances sur ordonnance (1950)
Une comédie dramatique touchante avec une pointe d’humour noir sur le sens de la vie et l’hypocrisie régissant les relations humaines
The Legend of Hell House / La maison des damnés (1973)
Un pitch classique, une fin ratée mais une réalisation intéressante qui réussit à créer une ambiance malsaine