Films britanniques (tous genres et toutes époques confondus)
Tous les films chroniqués sur ce site (classés par ordre de publication de la chronique – de la plus récente à la plus ancienne)
Assault (1971)
Pâle tentative de photocopie des gialli alors à la mode en Italie, ce thriller se fait surtout remarquer par la beauté plastique de ses actrices principales
Seacoal / Les charbonniers de la mer (1985)
Entre fiction et documentaire, « Seacoal » nous propose une histoire poignante et profondément humaine d’une poésie brute.
Without a Clue / Elémentaire mon cher… Lock Holmes (1988)
Une parodie très agréable du mythe holmesien (mais sans le petit grain de folie qui aurait pu en faire un chef d’oeuvre du genre) avec un duo d’acteurs parfait (Michael Caine et Ben Kingsley)
Doomsday (2006)
Hommage revendiqué à « Mad Max » et « New York 1997 », Neil Marshall signe un film de SF bourré d’action et de n’importe quoi. Un plaisir coupable !
Dracula / Le cauchemar de Dracula (1958)
Le classique de la Hammer avec un Christopher Lee toujours aussi impressionnant dans son rôle fétiche.
Last Holiday / Vacances sur ordonnance (1950)
Une comédie dramatique touchante avec une pointe d’humour noir sur le sens de la vie et l’hypocrisie régissant les relations humaines
The Legend of Hell House / La maison des damnés (1973)
Un pitch classique, une fin ratée mais une réalisation intéressante qui réussit à créer une ambiance malsaine
The Nightcomers / Le corrupteur (1971)
Une préquelle au « Tour d’écrou » d’Henry James avec Marlon Brando en corrupteur de deux jeunes enfants qui vont développer une fascination pour l’amour et la mort.
The Upturned Glass (1947)
Un scénario bourré d’incohérences plombe le film à peine sauvé du naufrage par la réalisation de Lawrence Huntington et l’interprétation de James Mason
I’ll Sleep When I’m Dead (2003)
Un film noir glacial sur la vengeance et la rédemption impossible. Mike Hodges est inspiré mais le scénario souffre de nombreuses faiblesses.
The Committee (1968)
Voici un moyen métrage expérimental digne de son époque, totalement absurde, où l’on répond par des pirouettes à des questions morales et au sens de la vie.
Deadfall / Le chat croque les diamants (1968)
Drame psychologie et film de cambriolage, « Deadfall » n’est pas complètement convaincant mais le trio d’acteurs (Michael Caine, Giovanna Ralli etEric Portman) ainsi que quelques scènes valent le détour !
W.E. (2011)
Sûrement l’un des plus gros navets et bides de 2011. Madonna arrêtera-t-elle enfin le cinéma ? Le problème commence avec le scénario, mièvre à souhait, et surtout d’une prétention assez incroyable. Ça se veut très profond mais les dialogues et scènes sombrent constamment dans le ridicule.
Paranoiac (1963)
« Paranoiac » fait partie de la flopée de films qui tentent de répliquer la recette magique de « Psycho ». Dans le rôle du dérangé de service, on trouve ici Oliver Reed qui a obtenu ses premiers rôles importants grâce à la Hammer.
Dr. Terror’s House of Horrors / Le train des épouvantes (1965)
Le premier film à sketchs d’Amicus Productions, le grand concurrent de la Hammer en matière d’épouvante british dans les 60s et les 70s. Devant la caméra, on a droit à des acteurs cultes du genre, Peter Cushing et Christopher Lee.
Under the Skin (2013)
Un film étrange, poétique et cruel. Une mise en abîme des sentiments humains et de la sexualité. « Under the Skin » est un drame métaphysique sur la condition humaine plus qu’un film de science fiction tel qu’on le conçoit habituellement. D’ailleurs Jonathan Glazer s’est efforcé d’écarter tous les écueils du genre.
The Third Secret / Le secret du Docteur Whitset (1964)
Un thriller psychologique bavard et à la construction bancale mais qui dégage une ambiance particulière
McVicar (1980)
Malgré les efforts de Roger Daltrey le film, trop classique, peine à convaincre. A réserver surtout aux fans de The Who ou de films carcéraux.
Devil Girl from Mars (1954)
Un pitch prometteur et un joli personnage principal de méchante dominatrice extra-terrestre. Cela suffit-il ?
The Squeeze / Le piège infernal (1977)
Un excellent polar crépusculaire des années 70 avec un casting d’enfer, Stacy Keach et Carol White en tête



















