Films britanniques (tous genres et toutes époques confondus)
Tous les films chroniqués sur ce site (classés par ordre de publication de la chronique – de la plus récente à la plus ancienne)
Flame (1975)
Un film sombre sur les dessous du business du rock. Les rock stars ne sont-elles que des pantins au service de l’argent ?
The Sweeney (2012)
Un film policier avec des flics aux méthodes expéditives et beaucoup d’action. Vu et revu mille fois.
The Four Feathers / Les quatre plumes blanches (1939)
Un classique du film de guerre et d’aventures exotiques. Haut en couleurs, c’est un modèle du genre toujours spectaculaire malgré le poids des années.
The Prime of Miss Jean Brodie (1969)
Le portrait d’un professeur charismatique et autoritaire, séduite par les valeurs fascistes. Un Oscar pour Maggie Smith.
Dust Devil / Le souffle du démon (1992)
Un film d’horreur culte des années 90. Pas toujours très adroit, mais le réalisateur exploite à merveille les décors naturels de la Namibie.
Bullshot Crummond (1983)
Une comédie nerveuse où les valeurs de l’empire britannique en prennent pour leur grade.
The Man Who Could Cheat Death (1959)
The Man Who Could Cheat Death (1959) de Terence Fisher. Même la Hammer de la grande époque ne pouvait viser juste à tous les coups. Pour preuve ce film pas honteux mais bâclé.
Night Train to Munich (1940)
« Night Train to Munich » (1940) de Carol Reed. Thriller et comédie sur fonds de début de seconde guerre mondiale. Les Nazis ? Même pas peur !
London Kills Me (1991)
« London Kills Me » (1991). Une comédie dramatique qui tente de mêler fantaisie et réalisme pour traiter de la jeunesse paumée issue de l’ère Thatchérienne.
The Man from U.N.C.L.E. (2015)
The Man from U.N.C.L.E. (2015), une adaptation un peu trop sage et convenue de la série télé des années 60.
Gumshoe (1971)
« Gumshoe » (1971) réalisé par Stephen Frears. Un hommage bourré de clins d’oeil qui reprend tous les archétypes du film noir et qui trouve le juste équilibre entre parodie douce amère et suspense.
Never Take Sweets from a Stranger (1960)
« Never Take Sweets from a Stranger » (1960). Un film de monstre atypique pour la Hammer. Ici point de Dracula mais un pédophile protégé par une communauté corrompue.
Defence of the Realm (1986)
Defence of the Realm (1986), un thriller paranoïaque honorable mais un peu confus. L’un des premiers rôles conséquents de Gabriel Byrne.
The Divorce of Lady X (1938)
« The Divorce of Lady X » (1938). Une charmante comédie romantique portée par deux interprètes hors du commun : Merle Oberon et Laurence Olivier.
Carry on Screaming! (1966)
« Carry on Screaming! » (1966). Une parodie amusante des films de la Hammer par la célèbre équipe des Carry On.
Son of Rambow (2007)
« Son of Rambow » (2007) de Garth Jennings. Un beau film d’amitié entre deux enfants réunis par leur désir de réaliser leur propre film. Poétique et touchant.
A Room with a View / Chambre avec vue (1985)
Comédie romantique d’une rare élégance, « Room With a View » (1985) est aussi une attaque en règle contre le système de classe britannique.
Chariots of Fire / Les chariots de feu (1981)
« Chariots of Fire » (1981). Un classique visuellement très beau mais dont le discours sur la glorification du sport et du dépassement de soi a mal vieilli
Sea Wife / L’épouse de la mer (1957)
« Sea Wife » (1957). Un pitch intrigant et un casting cinq étoiles gâchés par de nombreuses incohérences et maladresses scénaristiques.
Saturday Night and Sunday Morning (1960)
« Saturday Night, Sunday Morning » (1960). Un film qui a marqué l’histoire du cinéma britannique par sa vision réaliste de la condition ouvrière et de la génération d’après guerre.