Films britanniques (tous genres et toutes époques confondus)
Tous les films chroniqués sur ce site (classés par ordre de publication de la chronique – de la plus récente à la plus ancienne)
White of the Eye (1987)
Donald Cammell signe un thriller horrifique qui emprunte au Giallo mais y rajoute une touche lynchéene et existentielle.
Red Road (2006)
Le premier long métrage d’Andrea Arnold est un film poignant, mais parfois difficile d’accès, sur le deuil et le pardon
The City of the Dead / La cité des morts (1960)
Un film d’horreur lambda sauvé de l’ennui essentiellement par une belle photographie et un casting sympathique.
The Tell-Tale Heart (1960)
Un film d’horreur un peu trop simple mais efficace. Un casting convaincant et une utilisation de la musique intéressante.
The Guns of Navarone / Les canons de Navarone (1961)
Un film d’aventures mythique et insolent qui ne fait pas son âge, fruit de la collaboration entre Carl Foreman, J. Lee Thompson et une palanquée de stars !
The Dark Eyes of London / Le tueur aveugle (1939)
Un film policier et d’horreur porté par la présence de Bela Lugosi et saupoudré des petites doses d’humour et de romance. Divertissant !
Fahrenheit 451 (1966)
Une adaptation plutôt réussie d’un classique de la SF américaine par François Truffaut dans sa seule incursion dans une production internationale
Voice Over (1981)
Un film sur la folie d’un homme qui se réfugie dans les paroles pour noyer son angoisse. Bancal et hermétique, mais avec des fulgurances.
The Earth Dies Screaming (1964)
Une série B post-apocalyptique signée Terence Fisher, mais malheureusement au scénario sans surprise.
The Proposition (2005)
Un western anglo-australien qui a du chien, mais aux personnages pas assez bien finis pour que le film soit une vraie réussite The Proposition (2005) Réalisé par John Hillcoat Ecrit par Nick Cave Avec Ray Winstone, Guy Pearce, Emily Watson, Danny Huston, John Hurt,...
Noose (1948)
Un film de gangster cruel mais aussi une comédie au rythme enlevé et amené au firmament par une mise en scène brillante et des personnages hauts en couleur. Déstabilisant, atypique mais souvent juste génial
They Made Me a Fugitive / Je suis un fugitif (1947)
Une perle du film noir britannique signée Alberto Cavalcanti avec un Trevor Howard magistral. Brutal, sombre et haletant.
Ali G Indahouse (2002)
Si vous êtes allergique à l’humour au ras des pâquerettes et à la légèreté d’un éléphant dans un magasin de porcelaines, je n’ai qu’un conseil : fuyez, pauvres gens !
Went the Day Well? (1942)
Un film de propagande atypique où un village anglais suranné sombre dans la violence suite à l’invasion surprise d’un commando allemand. Sombre, ironique et violent.
The Reflecting Skin / L’enfant miroir (1990)
Un film sur le fil entre réalité et fantastique à la photographie très travaillée qui met en images des évènements cruels vus par un enfant de 8 ans.
Love, Honour and Obey (2000)
Comédie criminelle opportuniste dans le style de Guy Ritchie mais dont le résultat ressemble davantage à un home movie tourné un après midi entre potes…
Tomorrow Never Comes / Demain, la vie (1978)
L’avant-dernière réalisation de Peter Collinson pour le grand écran est un film policier tellement invraisemblable qu’il penche vers l’absurde. Etait-ce vraiment voulu ?
The Charge of the Light Brigade (1968)
Une dénonciation de l’absurdité de la guerre et de l’incompétence des officiers à travers une relecture d’une bataille tristement célèbre outre-manche.
Whisky Galore / Whisky à gogo (1949)
Une brillante comédie Ealing où des Ecossais assoiffés de whisky se transforment en pilleurs d’épaves !
The Edge of the World (1937)
Premier chef d’oeuvre signé Michael Powell, un véritable tour de force tourné sur une île inhospitalière au large de l’Ecosse


















